C’est le temps de mettre fin à l’enfer des confinements

Selon des reportages cette semaine, en Ontario, des résidents de foyers de soins de longue durée ont supplié d'être autorisés à sortir après avoir été confinés à l'intérieur pendant plus d'un an.

Ils sont coincés dans leur chambre, même s’ils ont tous été vaccinés et que personne n’a la COVID. Ils ne peuvent pas voir leur famille.

Ce n’est rien d’autre que de la détention forcée et de la torture. C’est criminel.

Mais ce n’est que l’une des nombreuses violations flagrantes de nos droits fondamentaux dont les gouvernements du Canada sont responsables.

Pendant ce temps, en Floride, au Texas et dans de nombreux autres États américains, toutes les mesures de confinement ont déjà été levées et la vie est revenue à la normale.

Il n'y a pas plus de victimes de la COVID dans ces États que dans ceux comme New York et la Californie où des mesures autoritaires sont encore imposées.

Le confinement ne fonctionne pas seulement. Sauf pour créer plus de détresse mentale, plus de destruction économique et plus de tyrannie gouvernementale.

Au Canada, ces mesures de confinement autoritaires sont, pour la plupart, imposées par les gouvernements provinciaux.

Mais cela ne veut pas dire qu’Ottawa ne peut rien faire pour les arrêter.

Le gouvernement fédéral coordonne les interventions de santé publique dans tout le pays.

Au lieu d'encourager les provinces à imposer des confinements, il devrait faire le contraire.

Au lieu d’envoyer de l’argent aux provinces, il devrait dire aux premiers ministres que s’ils choisissent de fermer leur économie, ils n’obtiendront pas un sou.

Le PPC est le seul parti fédéral opposé aux confinements.

Nous sommes contre la mise en quarantaine forcés des voyageurs dans des hôtels hors de prix.

Nous sommes contre les vaccins obligatoires et les passeports vaccinaux.

Cet enfer des confinements doit prendre fin. MAINTENANT.

Svp contribuez à la lutte contre cet enfer des confinements avec un don de 5 $ au PPC aujourd'hui!

Merci beaucoup,
-Maxime