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Le PPC est le seul parti qui propose des solutions réelles pour le système de santé
L'infolettre du PPC - 11 février 2023

Comme moi, vous êtes probablement anxieux à l'idée de tomber malade et de devoir utiliser notre système de santé.
Vous ne voulez pas attendre 15 heures dans une salle d'urgence. Vous ne voulez pas attendre six mois pour voir un spécialiste.
Notre système de santé est dysfonctionnel depuis des décennies. Ça a empiré pendant la covid, alors que des travailleurs de la santé non vaccinés ont été licenciés et que des chirurgies ont été reportées.
Cette semaine, Justin Trudeau a proposé d'envoyer aux provinces quelques milliards de dollars supplémentaires dans le cadre du Transfert canadien en matière de santé pour aider à résoudre ces problèmes.
Tout cela n'est qu'une mascarade. Ça ne résoudra rien.
Premièrement, rien ne garantit que les provinces utiliseront cet argent pour dépenser davantage en santé. Ce sont elles qui déterminent leur budget global de santé, et l'argent fédéral n'en représente qu'une partie relativement faible.
De toute façon, qu'il soit fédéral ou provincial, l'argent sort de la même poche : LA VÔTRE!
Si les provinces estiment qu'elles doivent dépenser davantage pour les soins de santé, elles peuvent augmenter les impôts ou dépenser moins en subventions aux entreprises ou en programmes stupides de promotion du wokisme, tout comme Ottawa. Au bout du compte, d’où vient l'argent ne fait aucune différence.
Mais plus important encore, le manque d'argent n'est pas le principal problème.
Le Canada fait partie des pays développés qui dépensent le plus santé. Et pourtant, nous sommes aussi parmi ceux qui ont les pires résultats.
Le problème fondamental est que nous sommes le seul pays développé où le gouvernement a le monopole des soins hospitaliers.
Tous les autres pays de l'OCDE ont des systèmes mixtes privés-publics et (à l'exception des États-Unis) des systèmes universels qui garantissent aux citoyens un accès égal.
Les patients de ces pays ont beaucoup plus de choix que les Canadiens. Ils peuvent être soignés dans des hôpitaux publics ou privés, le traitement étant pris en charge par l'État ou par leur assurance privée.
Les temps d'attente sont inexistants ou très courts, et personne ne se voit refuser des soins en raison de son faible revenu.
Ce dont nous avons besoin, c'est qu'Ottawa cesse de se mêler de cette compétence provinciale exclusive et que les provinces mettent en œuvre des réformes conformes à celles de tous les autres pays développés.
Promettre plus d'argent fédéral tout en prétendant améliorer le système alors qu'ils n’ont aucun pouvoir pour le faire, comme le proposent tous les autres partis, n'est pas la bonne approche. Au contraire, ça fait partie du problème.
Les gouvernements provinciaux ne prendront jamais les décisions difficiles s'ils peuvent toujours blâmer Ottawa de ne pas envoyer assez d'argent. Nous devons mettre fin à la confusion actuelle sur qui fait quoi et qui est responsable du problème.
Dans notre plateforme, le PPC propose de remplacer les paiements fédéraux en espèces par un transfert permanent de points d'impôt de valeur équivalente aux provinces et aux territoires, afin de leur donner une source de revenus stable et de mettre fin à la mascarade de la contribution fédérale aux soins de santé.
Cela créerait les conditions permettant aux gouvernements provinciaux et territoriaux d'innover. Ils seraient entièrement responsables du financement et de la gestion des soins de santé, et entièrement redevables des résultats à leurs citoyens.
Cette semaine, le Globe and Mail et le National Post ont publié des éditoriaux dans lesquels ils ont fait exactement la même proposition fondée sur le gros bon sens.
The Globe and Mail : « Une meilleure approche serait qu'Ottawa réduise ses impôts... pour permettre aux provinces d'augmenter les leurs. En cédant des points d'impôt fédéraux, les provinces obtiendraient immédiatement des fonds supplémentaires pour les soins de santé, tout en étant clairement responsables devant leurs électeurs de la façon dont ces fonds sont dépensés. Une telle démarche serait beaucoup plus ambitieuse que les modestes mesures présentées cette semaine. »
National Post : « L'un des principaux problèmes du modèle actuel de financement des soins de santé au Canada est qu'il permet aux provinces, qui sont constitutionnellement responsables des soins de santé, de blâmer les niveaux de financement fédéraux pour leurs propres échecs. Une façon de résoudre ce problème serait qu'Ottawa remplace le TCS (Transfert canadien en matière de santé) par un transfert de points d'impôt aux provinces, comme le recommande un récent rapport rédigé par Peter Nicholson, ancien conseiller de Paul Martin, pour la Graduate School of Public Policy de l'Université de la Saskatchewan. Cela impliquerait de réduire les impôts fédéraux d'un certain montant et de permettre aux provinces de les augmenter sans accroître la charge fiscale globale des Canadiens. »
La santé est la plus grande préoccupation des Canadiens. Il FAUT redresser le système. S'il vous plaît, aidez-nous à promouvoir cette réforme cruciale en faisant un don de 10 $ aujourd'hui!
Merci,
-Maxime
P.S. Si vous avez des difficultés à trouver l'endroit où vous pouvez faire un don, cliquez simplement sur ce lien! https://www.partipopulaireducanada.ca/donnez-cc
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